mercredi 6 septembre 2017

[Les Tricoteurs aux W&W] Jour 7 - Le retour

Jour 7 - Le retour

J'ai pas envie de rentrer!!!
D'ailleurs, j'ai pas entendu le réveil ce matin. Heureusement que quelqu'un est venu me tirer des bras de Morphée, sinon je jouerais encore les touristes à Anglet.
Olivier nous guide avec un road-book papier (pas de GPS, belle perf !). Le début route assez urbain et pas franchement agréable : limitations de vitesse, circulation dense, dos d'âne et marchés du dimanche matin nous ralentissent en permanence. Je m'endors sur la moto (mais ai-je réellement été réveillé ce matin-là?)
Après Vieux Boucau, il y a un peu moins de villes. On roule dans les pins, c'est plus agréable, mais c'est de la ligne droite. On est mieux rafraichis. C'est mieux mais pas top.
On s'arrête à Mimizan pour manger une petite salade. On laisse Sophie faire sa petite sieste digestive, puis on repart. On retrouve les routes toutes droites dans les pins. Je continue à rouler dans mon demi-sommeil (j'aurais dû faire une sieste aussi, tiens. Sauf qu'on n'aurait peut-être pas réussi à me réveiller!). Olivier s'inquiète sur l'horaire d'arriver pour le bac. On s'active un peu sur la route afin d'éviter une attente trop longue. On fait même des pointes à 90 km/h ;-)

Sur un parking pas ombragé du tout et sous un soleil de plomb, nous patientions avant l'embarquement sur le bac. Heureusement, l'attente n'est pas trop longue et nous embarquons. Le vents frais produit par le bateau et la clim à l'intérieur nous permettent de nous refroidir. Une boisson fraiche également ! La croisière n'est que de courte durée. Nous débarquons.
Les Tricoteurs passent le bac

Les routes sont beaucoup plus sympas de l'autre côté. C'est la campagne: petites routes tranquilles dans un environnement de bocage. Arrivés à destination, nous découvrons la maison d'Olivier. Spacieuse, fraiche… nous y sommes rapidement rejoints par une nuée de mouches ! Elles aussi en apprécient la fraicheur ;-)
Le temps de poser les bagages et de prendre une petite douche, nous filons à moto à la Crêperie pour nous restaurer. Sauf qu'arrivés là-bas, Manuel s'aperçoit qu'il a perdu transpondeur (un truc qui équipe les motos trop modernes, vous pouvez pas connaître!) de sa moto sur la route. Il repart avec Philippe. Ils le retrouvent en bon état. Ouf.
A table, l'ambiance est détendue. On est bien entre potes. On discute, on rit. Personne n'a envie de rentrer sur Paris le lendemain. Personne n'a envie d'affronter à nouveau la canicule à moto.
Et puis Olivier nous dis qu'il est dommage que nous ne restions pas car le marais poitevin est très sympa à visiter en barque.
Ca, c'est un bon prétexte pour rester un jour de plus ! Après avoir, les uns et les autres, checké nos contraintes familiales et professionnelles, nous prenons la décision de rester le lendemain pour effectuer la fameuse balade en barque.
Moment de bonheur énorme que cette décision mais Manuel doit rentrer le lendemain. Il ne restera pas avec nous :-(

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