19 Mai 2019 - Journée à la carte
Comme convenu la
veille, chacun fait à sa guise aujourd'hui. Au programme des uns et des autres: grand prix moto, farniente sur la
pelouse (avant l'arrosage automatique) / dans la piscine ou mini balade à moto en mode cool, tranquille, relax, pas pressé.
C'est cette dernière
option que Vincent et moi avons choisie. Hélène et Christophe aussi, mais avec
un départ plus tardif
Vincent et moi, on
fait ça à la dure: réveil 8h15, toilette, petit déjeuner et hop, sur les motos
!
Etape numéro un: le
plein. Tiens, au passage, un truc que j'ai trouvé intelligent au Portugal,
quand on paye par carte bleue, on valide d'abord la somme débitée en
appuyant sur OK et, seulement après, on tape son code. Mine de rien, ça force
vraiment à vérifier la somme. Combien de fois, en France, j'ai tapé mon code
sans vérifier que c'était bien la bonne valeur affichée !
Cette parenthèse
étant close, et nos montures rassasiées, on file en direction de Villa Real par
la rive droite du Douro.
Des marchands de
cerises ponctuent le bord de la route. Ils ou elles sont plus nombreux qu'en
semaine (et, au passage, vendent d'excellents fruits, cueillis murs dans le
jardin d'à côté, pas comme les trucs qu'on trouve dans nos supermarchés…).
Des vignes aux courbes généreuses... |
La photo du pont, c'est juste pour Isabelle: elle vous racontera ! |
Lors d'une petite
pause photo, on repère, au loin, une drôle de petite colline toute ronde au
milieu de la plaine, avec un petit truc posé dessus (qui s'avèrera plus tard
être une chapelle). Outre cette forme isolée au milieu du relief, ce qui nous
intrigue, c'est la route d'accès: pas de lacets comme d'habitude, mais une
route circulaire qui s'enroule autour de cette colline en formant une spirale
ascendante. Un petit coup de Google maps nous confirme la forme de la route
d'accès et nous donne le nom du site: a Capela da Senhora da Gracia, à côté de
Mondim de Basto.
Nous décidons de
nous rendre à la chapelle par des routes très détournées (=des petites routes qui se
perdent dans la montagne), mais avant, un arrêt repas s'impose. Nous trouvons
un petit bouiboui en bord de route. Menu type snack, mais terrasse gigantesque
avec un jolie vue. Vincent mange un Pica Pau. C'est à dire, en traduction
littérale, un pic vert. On pense très fort à l'ami matinal d'Olivier…
Amis des pics verts, vous prendrez bien un Pica-Pau? |
Nous reprenons
ensuite nos motos. Moi ma Bellagio et Vincent, sa 1250 GS de location. Après
quelques dizaines de kilomètres, nous arrivons à Mondim de Basto puis,
rapidement à la route qui monte vers la Capela da Senhora da Gracia.
Curieusement, le base de la route est équipée de 3 niveaux de glissières. On se croirait sur un circuit. On aborde ensuite la partie qui fait le tour de la colline. Celle-ci offre une vue a 360 degrés sur la plaine environnante.
Curieusement, le base de la route est équipée de 3 niveaux de glissières. On se croirait sur un circuit. On aborde ensuite la partie qui fait le tour de la colline. Celle-ci offre une vue a 360 degrés sur la plaine environnante.
Au sommet, nous
profitons d'une la vue magnifique qui permet d'admirer la plaine environnante
sur une très grande distance. On fait un petit tour autour de la chapelle, puis
nous nous posons un moment pour regarder les parapentes décoller puis évoluer
dans les airs.
Nous redescendons
ensuite dans la plaine pour aller musarder, une nouvelle fois, sur des petites routes de
montagne, sans trop savoir où l'on va, à suivre des panneaux
"panorama" qui ne nous mènerons nulle part. Pas grave, car les routes
sont superbes et très peu fréquentées. Cela nous permet de rouler à notre
rythme et de nous arrêter de temps en temps pour prendre quelques photos. Les
vacances en mode "touristes", en somme...
En ce dimanche, nous
avons croisé beaucoup plus de motos que les autres jours, principalement dans
la vallée du Douro. Alors que, d'habitude, nous croisions plutôt des 125cm3
utilitaires, là, nous avons rencontré de grands groupes de motards allant des
sympathiques petites 125 anciennes parfaitement restaurées jusqu'au troupeau de
grosses béhèmes qui se trainaient comme un troupeau beufs en transumance.
Bref : dimanche = la moto = la vie !
Bref : dimanche = la moto = la vie !
Retour au bercail en
fin d'après-midi. Ce soir, on dîne à la maison avec les restes de la veille. On
visionne également les vidéos du séjour.
C'était notre
dernier repas du soir au Portugal. Demain, nous dormirons en sol espagnol…
Dernier apéro sur la fabuleuse terrasse portugaise |
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