18 mai 2019 : Boucle sud
C'est l'anniversaire
de Dudu, aujourd'hui. Son pic vert a été sympa: il n'est pas venu le réveiller!
En revanche, c'est
le jour du départ d'Henrique. Un moment triste vient malheureusement compenser un moment
joyeux…
Je me lève à la
bourre: c'est ma spécialité! J'avais compris que le départ était à 11h. En fait,
c'est départ à 10h30.
J'avale mon petit
déjeuner au lance-pierre: OK je suis à la bourre, mais partir sans manger est
hors de question pour moi ! Au final, je n'ai pas trop retardé le groupe, tant
mieux, désolé,...
On va tenter de
retrouver le champ d'éoliennes en altitude d'il y a 3 jours, spot magnifique
mais que nous avions traversé trop rapidement, sans prendre le temps
d'immortaliser le moment.
Seulement, voilà, on
se perd, on se reperd, on égare une partie du groupe, on le retrouve. C'est un
peu le bordel aujourd'hui… Ça part dans toutes les directions. Dans tout ça, le
super spot, on ne le retrouve pas. Pas complètement en tout cas…
On fait nos adieu à
Henrique à côté d'un terrain de foot perdu au milieu de nulle part. On en
profite pour offrir à Olivier son cadeau (ou plutôt, une photo de son futur
cadeau): il s'agit du Potcho Kytone qu'on lui avait volé à Arguedas. Le mal est
réparé, en partie en tout cas…
On prend notre repas
à Parada de Ester, restaurant "Bem Estar". Les parts sont
gargantuesques ! Parfois, les portions
servies au Portugal sont bien trop grandes et on peut demander une demi-part
qui correspond plus à ce qu'on mange dans un repas normal. C'était le cas dans
ce restaurant-là, mais on ne le savait pas.
Le restaurateur nous
propose de mettre les restes dans des doggy bags. On les ramène à la maison
(sur ma Guzzi évidemment.... On se demande à quoi servent les grosses valises
des maxitrails, hein ? ;-))
Après le resto, et
une petite sieste digestive pour certains (je peux balancer les noms ?), on reprend
la route. Lydia, fatiguée, rentre directement. De notre côté, nous retournons
au AirBnB tranquillement, guidés par un Pierre rendu prudent par le vin portugais…
Nous traversons de
petites routes sinueuses dans des forêts d'eucalyptus. On finit même par faire
une overdose de virages, comme le souligne très justement Vincent à l'arrivé !
Quelques bouts de lignes droites, ce jour là, ça nous aurait reposés, je vous assure ! Ceci dit, c'est bien la première fois que j'entends
quelqu'un se plaindre de l'excès de virages. D'habitude, c'est plutôt le
contraire… ;-)
Le soir, on prend
notre repas dans le même resto que la veille. La soirée est placée sous le
signe de la chanson.
Elle est d'abord
animée par un chanteur/guitariste (pas de Fado, ouf, et mieux que les chansonniers de Moutier d'Ahun !) puis par le passage à la
télé de la finale de l'Eurovision (les télés sont omniprésentes dans les restos
de la péninsule Ibérique. Pas très agréable, d'ailleurs…). Les candidats ont bien changé depuis la
dernière fois que j'ai regardé ça...
Le repas se termine
par le gâteau d'anniversaire de Dudu, accompagné d'une dernière chanson dont on
connaît tous les paroles et que l'on ressort à chaque anniversaire ! ;-)
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